Le stand Made In France de cette Paris Games Week regorgeait de jeux cette année. Nous avons décidé de rendre visite aux développeurs de Dead Cells, un jeu plutôt… rageant !
Dead Cells : Une inspiration notable
Le jeu se présente sous la forme d’un Die & Retry en 2D prenant place dans un donjon avec un univers graphique assez rétro. On y incarne lors de notre apparition un amas indescriptible de choses répugnantes qui doit dans un premier temps trouver un corps à habiter. Une fois trouvé chaussure à notre pied, nous pourrons utiliser le-dit corps pour nous battre. Ou simplement pour nous mouvoir, ouvrir les portes, et progresser dans le donjon généré aléatoirement du jeu.
Si les inspirations du jeu semblent être nombreuses, on pourra le comparer de loin à un Dark Souls de par les patterns clairs des ennemis à assimiler, ou via les cellules mortes que l’on récupère sur les cadavres que l’on laisse sur notre chemin, qui nous rappelleront les âmes de Dark Souls.
Mécaniques du jeu
Si le jeu est un Die & Retry, un rogue like, c’est forcément qu’il faille que l’on meure au bout d’un moment. Il faut savoir qu’à chaque mort, tout notre équipement est perdu. Nous nous retrouverons nus donc à notre réapparition, mais nos armes ne seront pas perdues pour autant. En effet elles seront éparpillées quelque part dans le nouveau donjon généré. Il nous faudra donc l’explorer si l’on veut pouvoir récupérer notre épée fétiche.
Joli mais frustrant
Le jeu est graphiquement bien cohérent et l’ambiance posée n’est pas trop sombre. Des effets de lumières le rendent vivant et agréable à l’oeil. Cela en fait un jeu que l’on pourra catégoriser de joli, sans vouloir vexer son coté sanglant.
En somme Dead Cells a beau ne pas s’adresser à tous publics, il saura convenir aux plus aguerris d’entre nous. De facture française, il sera possible d’éprouver dessus une certaine « rage à la française AOC » (Appellation d’Origine Contrôlée). En espérant que vous serez meilleurs que nous.